Le Canal De Suez Ismailia - 1 La Piscine
Le Canal de Suez Ismaïlia - 1
La piscine
Deux années sont passées depuis ma première aventure homosexuelle avec Aly sans aucune reprise, rien que des souvenirs. Je ne pouvais me retenir de revoir un flash back de ces jours pleins de plaisirs et de jeux d'adolescents en plein air. Je me posais parfois la question si le hasard ne me cache pas une autre aventure.
Il commençait à faire chaud, les premières chaleurs d'été se faisaient ressentir. Un jour mon père a reçu un coup de téléphone d'un de ces anciens amis bien plus jeune que lui, nous invitant à passer quelques jours dans sa villa située aux abords du canal de Suez à quelques kilomètres de la ville d'Ismaïlia. Avec regret mon père qui avait plusieurs rendez-vous importants déclina son offre. M. Walid, insista à ce que mon père m'autorise à passer ces quelques jours en sa compagnie dans sa grande villa et qu'il pourrait nous rejoindre plus tard avec ma mère s'il pouvait, sur ce mon père se plia.
Je pris le bus dIsmaïlia, quelques heures plus tard je retrouvais Walid devant sa BMW rouge coupée. Une heure plus tard la portière de sa grande villa s'ouvrait à notre approche. C'était une villa moderne à deux étages qui reflète un bon goût de savoir vivre. L'intérieur était vaste, climatisé à la bonne température, de nombreux souvenirs achetés de grands nombres de pays visités complétaient le décor moderne. Walid m'invita à passer dans ma chambre pour me rafraîchir. Après un repas succulent préparé avec soin par son homme de ménage et homme à tout faire, Nour le jeune Nubien d'Assouan, nous nous sommes dirigés vers la terrasse située autour de la piscine pour siroter un jus et admirer en même temps les navires qui naviguaient sur les eaux calmes du Canal de Suez . Il m'invita par la suite à visiter son petit domaine à cheval. Walid ne s'arrêtait pas de parler et de me raconter ses aventures, le temps passa si vite que nous étions minuit.
Le lendemain j'étais sur pieds à sept heure, le petit déjeuné était parfait, Nour s'était dépassé.
Je me réveille vers midi sur la voix de Walid:
- Alors petit fainéant du dors au lieu de nager.
Il portait un burnous bleu, il s'avance sur le bord de la piscine, le laisse glisser, il est nu comme un vers. Sans me regarder, il plonge dans l'eau limpide de la piscine. Aucune trace de blancheur napparaît sur son dos m'indiquant qu'il prend des bains de soleil en tenue d'Adam. Après quelques longueurs, il se retourne nage sur le dos et me laisse voir un imposant périscope qui se balançait hors de l'eau à la cadence de sa nage, il m'invita à le joindre. J'hésite, je me lève, m'approche du bord.
- Hé puceau, as-tu peur qu'on te vole le zizi. Je l'ai bien vu quand tu étais jeune, t'as déjà oublié?
Non, je n'avais jamais oublié, je n'avais jamais oublié quand parfois il effleurait mon zizi avec ses doigts, sous prétexte d'enlever le sable collé sur mon corps il passait ses doigts dans ma raie, et me chatouillait, je ne peux feindre que je n'aimais pas ses caresses mais rien de plus, c'était lui qui s'occupait de moi quand j'étais jeune
.
- Ho non, du tout
- Alors viens; enlève ton maillot, il n'y a personne dans les alentours, tu n'as jamais senti l'eau autours de tes couilles.
- Oui, à Marsa Matrouh il y a deux ans.
J'enlève mon maillot et je plonge, quelques brasses et je suis au fond de la piscine. Je n'arrive pas à enlever la photo de son périscope de mes yeux. J'appuis ma tête sur le bord de la piscine.
Je m'accoude dos tourné vers le bord, je sens un début d'érection et ma bite se réveille, je cherche Walid où est il passé? Tout à coup je sens une tiédeur autour de ma bite.
- Eh bien salaud tu bandes, tu es bien membré pour ton age. Ça t'excite tant; j'étais sûr que tu es une salope; tu viens de te raser le pubis? et le cul aussi j'espère?
- Oui
- Alors grimpes sur le bord laisse moi voir.
Je grimpe sur le bord de la piscine, il me happe déjà le membre, il me pompe. Je sens sa langue s'enrouler autours de mon membre, je ferme les yeux. Il me renverse sur le dos met mes pieds sur ses épaules, suce mes couilles. Je sens sa langue tiède happer ma bite ses mouvements sont lents, sa langue trémousse. La langue de Walid continue sa route vers mon illet brun qui depuis deux ans a oublié cette caresse. Sa langue pousse sur l'ouverture de mon antre, il m'ouvre, me baise avec celle-ci, il enfonce un doigt puis deux. Walid repend ma hampe dans la bouche me pompe pendant que trois doigts me liment. Quelques minutes plus tard je n'arrivais plus à me retenir. Je crie, j'essaye de le repousser sans parvenir, il me pompe plus vite. Tans pis, je lui envoie plusieurs jets de spermes dans sa bouche. Walid boit tout.
Walid sort de la piscine il bande toujours, me met à quatre pattes sur un matelas, s'installe derrière moi et recommence à me lécher le trou du cul de plus belle. Introduit un puis deux puis trois doigts et les fait tourner, je me dilate. Serai-je capable de prendre cette superbe bite. Il crache sur sa bite, et la présente à la porte de mon illet. Je sens la douceur et la tiédeur de son gland, il pousse. Je sens une résistance, une douleur aigue je ferme les yeux. Je me rappelle les premiers moments où Aly m'avait dépucelé et a introduit sa verge dans mon anus vierge à ce jour. Il patiente, il me laisse le temps de m'habi, puis petit à petit continue sa pénétration. Il pousse à fond je sens son pubis caresser les globes. La douleur change, c'est bon et c'est doux.
- Je savais que tu aimerais ça, je savais que tu es une petite salope, depuis jeune je te désirais mais je ne pouvais pas.
- Oui.
- Oui quoi salope
- Oui j'aime me faire enculer
- Sens-tu ma bite dans tes entrailles salope
- Oui; je suis ta salope je la sens
- Qui ta dépucelé salope?
- Un ami; un bédouin à Marsa Matrouh il y'a deux ans.
- Tu te fais sauter par le premier venu? Raconte.
Walid continue à me limer ainsi pour dix minutes pendant que je lui raconte mon histoire avec Aly, il retire sa bite de mon pauvre cul et vient me la présenter devant ma bouche.
- Suce salope.
Je la prends sans hésiter. Le temps passe
..
- Ha je ne peux plus. Avale tout ne perd pas une goutte.
Je sens son gland se gonfler et il m'envoya cinq ou six jets chauds au fond de ma bouche.
Voyant ma bite tendue, il change de position se met à quatre pattes et me demande de l'enfoncer. Je crache sur mon mat et je pousse, il passe sans problème, Walid est accoutumé à ces caresses charnelles. Je continuais à limer Walid pour une bonne dizaine de minutes, quelques secondes plus tard je lui envoyais plusieurs jets chauds dans ses entrailles.
Bien sûr nous avons passé notre nuit à baiser et à sucer; à la fin nous nous sommes endormis avec les premières lueurs du jour.
(à suivre)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!